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Annexe 1 - Enquête sur les zones de projet1/

1/ La présente Annexe repose essentiellement sur la publication “A practical approach to rural development” (Virone, 1969 (G)) et le document FAO “Guidelines for the development of less favourable environment areas: a comprehensive integrated watershed development approach” (FAO, 1977 (a) (P) et FAO 1977 (b) (P)).

La présente Annexe donne le schéma des enquêtes préliminaires à entreprendre afin de définir la situation actuelle d’une collectivité et de déterminer ce qui peut être fait pour l’aider à l’améliorer. Elle décrit succinctement, sous forme de liste récapitulative, toute la série des études sur le développement rural dont les activités de développement forestier communautaire ne constitueront généralement qu’une partie. Les enquêtes décrites sont de deux types - elles concernent soit le cadre social et économique, soit le milieu physique. Regroupes, les résultats devraient dégager le cadre des besoins, aspirations, ressources, possibilités et contraintes dans lequel doit se faire le développement communautaire.

Avant de décider d’entreprendre une telle enquête, il faut s’assurer de l’existence des trois principaux préalables au succès d’un projet communautaire:

- l’appui politique des pouvoirs publics en faveur du développement rural;

- la volonté de participation de la communauté locale et sa capacité de poursuivre par ses propres moyens et ressources, le processus de développement entamé;

- un cadre institutionnel suffisamment souple pour assurer une coordination pratique entre les institutions.

Si l’on identifie dans l’un de ces trois domaines des obstacles qui compromettraient sérieusement les perspectives de succès d’un projet, il serait bon de s’attacher à les éliminer avant d’engager des ressources dans les enquêtes sur la zone de projet.

Comme il existe déjà un certain nombre de manuels traitant des enquêtes préparatoires (voir Annexe 6), on ne donne ci-après qu’un schéma des données qu’il serait souhaitable d’obtenir au total; dans la pratique, certaines contraintes limiteront l’effort qui pourra être consacré à la collecte des données - par exemple, le manque de temps, de fonds, de personnel qualifié, l’évolution rapide des conditions, etc. Les enquêtes devront donc être conçues en fonction de ces contraintes.

L’enquête peut prendre plusieurs mois, mais on risque alors de voir les informations devenir caduques et les espoirs et l’attente des intéressés, qu’il s’agisse de l’organisme de parrainage ou de la communauté, faire place à la déception.

Le chef d’équipe doit établir un calendrier de l’enquête et s’assurer que les renseignements requis peuvent être obtenus dans le temps imparti. Il faut tenir compte des informations en retour et des échanges interdisciplinaires entre les divers membres de l’équipe, ainsi que de la séquence logique des enquêtes et des études particulières. La Méthode du chemin critique (MCC) peut se révéler un outil très précieux lors de la programmation de l’enquête.

L’agent de terrain chargé de la collecte de la plupart des données dans la communauté choisie aura l’occasion d’acquérir une connaissance et une compréhension approfondies de la population locale, ainsi que de sa situation et de ses problèmes. Il peut juger utile de se faire aider par les chefs locaux, les enseignants, les étudiants, etc., pour certaines études appropriées, créant ainsi dès le début du projet une atmosphère de participation et de coopération locales. Toutefois, l’agent de terrain devra s’abstenir de donner des conseils aux exploitants ou d’entreprendre des opérations de développement durant l’enquête, car ce n’est qu’à l’achèvement de celle-ci qu’apparaîtra ce tableau d’ensemble des conditions locales, permettant l’élaboration des programmes d’action.

Il faut, au début de l’enquête dégager et enregistrer l’essentiel des caractéristiques et problèmes de base de la communauté, de l’environnement et des ressources, mais là ne s’arrête pas l’investigation. En effet, certaines recherches doivent être effectuées dans le cadre du programme de développement pour analyser des possibilités et problèmes particuliers, et trouver les solutions qui conviennent. Enfin, des études sont nécessaires à des stades ultérieurs, pour apprécier l’évolution de la communauté et évaluer l’incidence du projet.

La liste indicative ci-après porte sur les principaux thèmes à examiner lors de l’enquête sur la zone de projet.

1. ENQUETE SOCIO-ECONOMIQUE AU NIVEAU DE LA COLLECTIVITE

A. Caractéristiques socio-démographiques

a) Population: origine, effectif total et nombre de ménages, répartition par sexes et groupes d’âge, migrations (tableaux et graphiques);

b) activités économiques, chômage, sous-emploi;

c) villages, liaisons routières et télégraphiques (cartes des établissements humains et du réseau routier);

d) la famille, le clan, le conseil, les partis politiques;

e) la religion, les traditions, les attitudes face au changement;

f) habitat, logement, adduction d’eau, sources de combustibles, etc.;

g) services et équipement sociaux: transport, communications, énergie électrique, soins médicaux (y compris les sorciers guérisseurs), éducation (analphabétisme), marchés (y compris magasins, artisanat, festivités, loisirs, folklore, clubs, associations, coopératives, mutuelles de crédit).

B. Régime foncier

a) Régime de propriété des terres, droits et réglementations (indiquer sur la carte les unités d’exploitation);

b) distribution de la propriété - groupement par taille;

c) valeurs de la terre et marché foncier;

d) métayage, utilisation des terres communales, systèmes de baux/permis sur les terres domaniales.

C. Investissements en capitaux (indiquer si possible les montants)

a) logement et routes;

b) défrichement et mise en valeur des terres, irrigation, cultures permanentes, agroindustries, artisanat;

c) scieries et entreprises industrielles forestières;

d) entrepôts, transports publics et fret.

D. Unités d’exploitation

a) L’exploitation: relation entre biens agricoles et biens fonciers;

b) nombre total d’exploitations, répartition des exploitations (carte), groupements par taille (graphique);

c) types d’unités d’exploitation;

d) utilisation du périmètre de l’exploitation, rotation des cultures.

E. Main-d’oeuvre

a) Rapports entre la direction de l’exploitation et la main-d’oeuvre;

b) main-d’oeuvre: effectifs et type;

c) main-d’oeuvre rémunérée, prestations obligatoires, échanges de main-d’oeuvre dans la collectivité;

d) spécialisation de la main-d’oeuvre par âge et par sexe;

e) saisons et horaires de travail;

f) emploi, sous-emploi et chômage, par sexe et groupe d’âge.

F. Capital d’exploitation (statistiques communautaires)

a) Outillage et matériel: fabrication, entretien, réparation et marché;

b) bétail, type, quantité, valeur;

c) autre capital d’exploitation: aliments pour bétail, semences, engrais - quantité et marché;

G. Cultures, façons culturales

a) Cultures de rapport: superficie totale, variétés, façons culturales, facteurs de production et autres dépenses, rendement, production unitaire et production totale;

b) cultures de subsistance: superficie totale, variétés, préparation du sol, rotation, façons culturales, rendement, production unitaire et totale pour la collectivité;

c) production d’aliments pour animaux et de fourrage: superficie totale, variétés de graminées, façons culturales, rendement;

d) cultures permanentes: superficie totale, façons culturales, rendement, production totale;

e) élevage: type et nombre d’animaux, méthodes, facteurs de production, production unitaire et totale pour la collectivité;

f) volaille: type, nombre total, production;

g) régime alimentaire de base et techniques de préparation.

H. Activités forestières et connexes (en évitant de faire double emploi avec l’enquête spécifique;)

a) Production de bois: essences, prix unitaires, coûts de production, marchés;
b) industries de transformation du bois;
c) autres produits forestiers: bois de chauffage, charbon de bois, etc.

I. Autres activités économiques (valeur lucrative)

a) Pêche, chasse;
b) artisanat;
c) main-d’oeuvre non agricole;
d) ouvriers spécialisés et cadres.

J. Production

a) production brute (valeurs unitaires et pour la collectivité);
b) production brute commercialisable (transformation, commercialisation, prix);
c) produits consommés par l’exploitant.

K. Dépenses (autres que pour les activités productives)

a) Nourriture;
b) logement et énergie;
c) habillement;
d) éducation;
e) transport, communications;
f) impôts et contributions;
g) festivités;
h) loisirs;
i) dettes.

2. ECHANTILLONS: EXPLOITATION ET MENAGE

L’enquête socio-économique au niveau de la collectivité devra être complétée par une enquête au niveau de l’exploitation et de la famille portant sur 30 à 40 pour cent des unités d’exploitation/familles de la zone de projet. Là encore, ce schéma doit être adapté aux cas particuliers pour obtenir toutes les données pertinentes sur:

a) l’emplacement, le mode de faire-valoir, le type d’exploitation, le nom de l’enquêteur, la superficie, la topographie et le relief, l’accès aux routes, la composition des coopératives ou associations;

b) la famille (y compris l’emploi, l’éducation, etc.), les unités de main-d’oeuvre et leur utilisation, les ouvriers rémunérés, la répartition des activités sur l’année, les périodes d’activité maximum, les échanges de main-d’oeuvre, les salaires, le régime alimentaire et la préparation des aliments;

c) l’utilisation des terres, la production par unité et sa valeur totale, ainsi que sur la valeur des biens fixes, les animaux (par type) et leur valeur, les machines et le matériel, ainsi que sur la valeur par hectare;

d) la production agricole (et sa valeur totale): production totale de chaque denrée, production commercialisable (prix unitaire et valeur totale), consommation familiale (valeur);

e) les dépenses agricoles (en spécifiant les dépenses unitaires et totales): semences, engrais, fumier organique, pesticides, machines (y compris machines louées), arbres ou stumps, fourrage, aliments pour animaux, litière, service vétérinaire et médicaments, monte, reconstitution des stocks, fonctionnement, réparation et amortissement des machines et du matériel, assurance, électricité, eau d’irrigation, transformation des produits, transport, réparations et entretien des bâtiments, routes, pistes, clôtures, canaux, etc.;

f) l’endettement, en spécifiant la nature de la dette et son mode de remboursement;

g) les dépenses familiales, en spécifiant les aliments achetés, le combustible, les vêtements, les soins médicaux, l’éducation, le transport et les visites, les réparations et l’entretien de la maison, l’équipement ménager et le mobilier, la vie sociale, les impôts sur les personnes physiques, les redevances, etc. Indiquer le montant total des dettes.

h) les revenus non agricoles de la famille (source de revenu) en indiquant le total annuel.

Enfin, il faudrait obtenir le bilan des revenus et avoirs, donnant:

i) le produit agricole net (total, valeur par hectare et valeur par unité de main-d’oeuvre), c’est-à-dire la différence entre la production commercialisable et les dépenses agricoles;

ii) le revenu agricole net après déduction du produit agricole net des salaires, du loyer (en cas de prise à bail) et du remboursement des dettes agricoles;

iii) le solde final, c’est-à-dire la différence entre, d’une part, le revenu agricole net (plus les autres revenus) et, d’autre part, les dépenses familiales et la valeur des produits agricoles autoconsommés.

Le “solde” peut souvent être déficitaire car il est normal que les dépenses de la famille soient adaptées à ses revenus sans qu’une marge soit réservée pour l’amortissement des machines, le renouvellement du bétail, la replantation d’arbres, pris en compte dans le questionnaire.

Les avoirs seront déterminés en déduisant l’endettement total de l’ensemble des avoirs de la famille (revenu disponible pour l’épargne, terres et biens fixes appartenant à la famille, machines et autres avoirs); l’endettement total est la somme des dettes de l’exploitation et de la famille.

3. DEMANDE ACTUEL POTENTIELLE DE BOIS ET AUTRES PRODUITS FORESTIERS

La consommation actuelle de produits forestiers peut fournir un point de la courbe de demande. L’évaluation du niveau de la demande potentielle effective, sur la base de certaines hypothèses quant à l’évolution future du revenu et du mode de vie, est une procédure plus complexe, surtout dans le cas de produits non actuellement disponibles. Elle implique des décisions sur le prix ou le coût perçu pour les biens livrés aux membres de la collectivité. On ne peut ici que proposer les principales rubriques d’une enquête:

A. Bois de chauffage et charbon de bois

a) consommation: actuelle, totale et par habitant;
b) économies possibles grâce à un meilleur rendement des produits ou à leur remplacement;
c) demande projetée dans certaines hypothèses de prix et de revenus.

B. Pieux et bois de construction

a) consommation actuelle;
b) économies possibles;
c) demande projetée.

C., D., etc. Autres produits forestiers

Pour tout autre produit considéré, pris séparément, mêmes rubriques que pour A et B, par exemple:

Fourrage
Noix
Produits comestibles du palmier
Fruits
Gomme arabique
Tannin
Miel
Champignons
Plantes médicinales et autres plantes d’importance économique
Soie tasar

N. Conservation des sols et lutte contre l’érosion

a) Besoins actuellement ressentis par la population locale en matière de protection;

b) besoins discernés par les experts;

c) coûts et avantages qui pourraient entraîner pour les habitants les ouvrages de conservation projetés.

O. Incidences climatiques

a) Besoins ressentis localement en matière d’ombre et d’abris;
b) besoins discernés par les experts;
c) coûts et avantages éventuels.

4. INVENTAIRE DES RESSOURCES FORESTIERES ET CONNEXES

Cette section sera forcément de nature et de complexité très variables, allant de l’étude des écosystèmes naturels dans lesquels ou autour desquels vivent certaines collectivités forestières, à l’évaluation des possibilités de plantation sur des terres totalement déboisées, occupées par de nombreuses populations pastorales. Pour ce qui est des forêts naturelles, les procédures courantes d’inventaire forestier peuvent être suivies, mais avec plus de rigueur pour les produits forestiers associés. Pour les plantations possibles, peu de renseignements seront nécessaires en plus des données recueillies ci-dessus, sur les sites propices, aux fins d’identification des essences appropriées.

5. CLIMAT, HYDROLOGIE ET UTILISATION DES RESSOURCES EN EAU

Selon le type et la fiabilité des informations disponibles sur les précipitations et autres données concernant les paramètres météorologiques, l’analyse devra porter, en premier lieu, sur la répartition dans le temps des précipitations (hystogrammes ou courbes des précipitations mensuelles sur toute l’année) et dans l’espace (cartes isohyètes). Des données sur l’intensité des précipitations sont nécessaires pour effectuer des études concernant l’érosion et concevoir des mesures de conservation des terres et des eaux. Des analyses de fréquence des précipitations peuvent être utiles dans les zones à périodes sèches prolongées et dans celles qui sont sujettes à des précipitations abondantes et aux inondations. On peut construire des graphiques de distribution des températures mensuelles et calculer les valeurs mensuelles moyennes, minimales et maximales. Le cas échéant, il convient d’enregistrer la gamme des températures quotidiennes et les éventuelles gelées. Si l’on envisage de sélectionner des plantes pour la culture en sec ou la culture irriguée, des études d’évapotranspiration potentielles s’imposent. Des informations sur la direction du vent sont nécessaires pour la plantation de rideaux-abris et de pare-feux et la fixation des dunes.

Si le projet a quelque rapport avec la protection des bassins versants, la maîtrise des inondations, la collecte des eaux ou l’irrigation, les paramètres du cycle hydrologique devront comporter des informations précises, notamment un budget hydrique et une analyse des divers emplois de l’eau. Des enquêtes sur les nappes phréatiques et un inventaire des puits peuvent également être nécessaires. Si l’eau à usage domestique et agricole est sensible aux importantes variations saisonnières ou aux sécheresses, il est indispensable d’effectuer une analyse de fréquence du débit des fleuves, canaux ou sources. Une analyse de la qualité de l’eau, s’impose aussi, en particulier là où des maladies transmises par l’eau mettent en danger la santé de la population.

6. GEOMORPHOLOGIE, SOLS ET EROSION

Si l’on dispose de cartes géomorphologiques (ou si l’on peut en établir au moyen de la photo-interprétation), les enquêtes pédologiques, les inventaires des sols érodés et la classification des terres d’après le concept des ensembles en seront facilités, de même que la préparation de cartes hydromorphologiques indiquant la réaction des différentes unités de terre au débit d’écoulement, au débit des eaux souterraines et des nappes phréatiques. Pour les enquêtes pédologiques, les paramètres les plus importants sont la pente, la profondeur et la texture des sols, la pierrosité, les affleurements de rochers et la présence de croûtes. Pour la sélection des plantes et des essences forestières, il est souhaitable d’effectuer en laboratoire des analyses d’échantillons de sols pour déterminer la teneur en matières organiques et la composition minérale, et recommander des applications d’engrais et chaux, ainsi que d’autres mesures d’amendement des sols. Des cartes d’érosion et de risques d’érosion seront utiles pour préparer le reboisement et formuler d’autres mesures de conservation, ainsi que pour réserver des zones devant faire l’objet d’une utilisation restrictive. Des cartes clinographiques (pentes) seront également très utiles dans la planification d’ensemble de l’aménagement des terres.

7. ZONAGE ECOLOGIQUE, FAUNE, VEGETATION ET UTILISATION DES TERRES

Une carte écologique pourrait constituer une base valable pour les prises de décision relatives aux diverses utilisations des terres et comme guide pour l’utilisation polyvalente optimale des unités de terre. Le système Holdridge des “zones biologiques” est largement utilisé à cette fin, notamment en Amérique latine. On peut dresser des cartes de végétation à partir de photos prises périodiquement, et une carte combinée végétation-utilisation actuelle des terres, à partir de photographies aériennes récentes. Si ces photos sont trop anciennes et qu’un nouveau vol est impossible faute de temps ou de crédits, il faut contrôler très attentivement sur le terrain les résultats de l’enquête sur l’utilisation des terres, car l’exactitude de ces données est indispensable en vue des éventuelles modifications à apporter au plan d’occupation des sols. La faune peut constituer un élément important du projet en raison du danger d’extinction de certaines espèces, de la chasse commerciale ou de l’élevage: il faut alors évaluer la population des espèces en jeu, compte tenu de leur répartition dans l’espace et dans le temps. Il convient aussi d’examiner d’autres aspects de l’environnement, par exemple, les sites propices aux loisirs ainsi que la protection de la qualité, de la quantité et du régime des eaux, en tenant compte de leur utilisation dans les zones situées en aval et d’autres effets, comme les inondations.

8. EVALUATION DE L’INCIDENCE SUR L’ENVIRONNEMENT

Les risques pour l’environnement doivent être évalués, si possible quantitativement, compte tenu des informations disponibles, d’une part, sur l’environnement et ses ressources, et, d’autre part, sur les biens et services qui pourraient souffrir des activités humaines actuelles ou futures. Ces risques sont entre autres:

- érosion et épuisement des ressources en sols résultant des méthodes agricoles et pastorales irrationnelles;

- érosion due à l’exploitation forestière et à la construction de routes;

- dégradation de la qualité, du rendement ou du régime des eaux, due à des pratiques d’aménagement des terres mal conçues;

- sédimentation dans les réservoirs, prises d’eau, canaux, terres agricoles;

- pollution des eaux due à l’emploi d’engrais et de pesticides, dont les effets se répercutent sur la pêche et l’eau destinée à la consommation humaine;

- maladies transmises par l’eau;

- eutrophisation de l’eau des bassins de retenue;

- inondations et sécheresse consécutives à des changements apportes aux schémas d’utilisation des terres ou à la construction d’ouvrages;

- pollution de l’air due à l’utilisation de feu et influant notamment sur la visibilité dans le trafic aérien;

- diminution ou extinction d’espèces sauvages.


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